Ce jour-là, Maîtresse était d'humeur taquine. J'étais assis à mon bureau, tâchant de travailler alors que mon esprit vagabondait, ici et là, pensant à Elle seule. C'était presque douloureux de La savoir si proche de moi, moins de deux kilomètres séparent ma maison du bureau. Je rêvais de quitter mon poste pour aller La rejoindre.

Quelques minutes avant midi, mon téléphone sonna : ma secrétaire m'annonça qu'une Femme souhaitait me voir. Elle ne s'était pas présentée. Cela me rendait furieux d'être dérangé au milieu de ma rêverie. J'allais prendre du retard dans mon travail et, pire encore, je voulais profiter de la pause déjeuner pour écrire quelque chose à Maîtresse. Mais, je répondis : « D'accord, qu'elle entre. Vous pouvez aller déjeuner, nous verrons le reste plus tard ». Ma secrétaire répondit de manière affirmative. Je l'entendis partir, fermant la porte. Pour autant, personne ne rentrait dans mon bureau. Je me levai et criai : « Allez-y, entrez ! »

Aucune réponse et personne ne pénétra dans la pièce. Je sortis pour voir ce qui se passait. C'était une blague ou quoi ? Et là, qui était debout dans le bureau de ma secrétaire ? Maîtresse en personne ! En observant Son visage, je compris qu'Elle n'était pas satisfaite de moi. « Nathan, est-ce là une manière correcte pour m'accueillir ? » Je restai sans voix, mon visage rouge de confusion. Je ne parvenais plus à dire quoi que ce soit. Aussi, je tombai à genoux et embrassais Ses bottes. Puis, je me mis à les lécher, en remarquant un peu de saleté sur le cuir vernis.

Elle me releva de la pointe de sa botte. « Allons dans ton bureau. » Evidemment, j'obéis. Une fois entrés, elle ôta mes lunettes et les déposa délicatement sur le bureau. Je gémis sous la surprise. Elle me gifla à deux reprises, un aller et retour sec et v i o l ent. « Ca, c'est juste pour mon plaisir. J'ai eu un mauvais début de journée. J'en ai assez des papiers et des impôts. J'ai juste besoin de me détendre un peu. Et tu es fait pour cela, n'est-ce pas Nathan ? » Je hochai la tête en guise d'assentiment. « Bien. Alors, enlève ton pantalon, mets tes mains sur le bureau et écarte les jambes. Dépêche-toi bon s a n g ! Mon mari m'attend pour déjeuner, je ne veux pas être en retard à cause de toi. » J'obéis aussi vite que je le pouvais.

Elle s'empara d'une cravache qu'Elle savait disponible dans un de mes tiroirs et fendit l'air pour en tester la souplesse. J'étais effrayé, car je La sais cruelle avec cet instrument. « Cette culotte te va très bien, Nathan. Bon, évidemment, tu as l'air ridicule en dessous féminins mais j'aime cela. Et comment cela se passe-t-il avec le plug ? Tu le supportes bien ? », demanda Maîtresse. Je gémis à nouveau : « Oui, Madame ». La cravache s'abattait : une fois, deux fois, trois fois... mordant cruellement mes fesses et mes cuisses... jusqu'à cinquante coups.

Maîtresse arrêta la fouettée. Elle me tendit sa main gantée à baiser, comme remerciement. Puis Elle partit sans dire un mot de plus. J'étais très excité, mon sexe me faisait mal, comprimé par la culotte trop étroite. Je me retournais pour aller rejoindre mon fauteuil quand, soudain, je réalisai. Le laveur de carreaux avait observé toute la scène. J'étais bien persuadé que Maîtresse le savait dès le début.